Outras Cores

terça-feira, 3 de agosto de 2010

História da Arte em Imagens - A IDADE MÉDIA 1 (500-1000 DC)



Mosáicos de St° Apolinário "Nuovo", Ravena

Basílica de Santo Apolinário Novo

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Basílica de Santo Apolinário Novo.
Nave.

A Basílica de Santo Apolinário Novo [1] (em italiano: Basilica di Sant'Apollinare Nuovo) é uma basílica em Ravena, na região da Emília-Romanha, na Itália. Foi construída pelo rei ostrogodo Teodorico, o Grande, para ser a capela de seu palácio, durante o primeiro quarto do século VI.

Foi reconsagrada em 561, sob o reino do imperador bizantino Justiniano I, sob o nome "Sanctus Martinus in Coelo Aureo" (São Martim em Céus Dourados). Foi dedicada a Martinho de Tours. De acordo com a lenda, o Papa Gregório I ordenou que os mosaicos da igreja fossem escurecidos para que os visitantes não ficassem distraídos em suas orações. A Basílica foi renoemada em 856, quando as relíquias de Santo Apolinário foram transferidas para a Basílica de Santo Apolinário em Classe.

Quando a UNESCO colocou a igreja na lista de Património Mundial, seus peritos destacaram que "o exterior e o interior da Basílica ilustram graficamente a fusão entre os estilos oriental e ocidental que caracterizam a virada do século V para VI. Esta é uma das construções mais importantes de um período de crucial significação cultural na arte religiosa européia."

Ver também

Referências

  1. Também conhecida em português como Basílica de Santo Apolinário, o Novo ou Basílica de Santo Apolinário-o-Novo


Ravenna

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Ravenna

Região: Emilia-Romagna-Bandiera.svg Emília-Romanha
Província: 15px Ravenna
Coordenadas: 44° 25' N 12° 12' E
Área: 652 km²:
População: 144.457 hab.
Densidade: 221,56 hab./km²
C. limítrofes: Alfonsine, Argenta (FE), Bagnacavallo, Bertinoro (FC), Cervia, Cesena (FC), Comacchio (FE), Forlì (FC), Russi
Prefeito: {{{prefeito}}}
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Orago (padroeiro) : São Apolinário (Sant'Apollinare)

Ravena ou Ravenna é uma comuna italiana da região da Emília-Romanha, província de Ravenna, com cerca de 144.457 habitantes. Estende-se por uma área de 652 km², tendo uma densidade populacional de 221,56 hab/km². Faz fronteira com Alfonsine, Argenta (FE), Bagnacavallo, Bertinoro (FC), Cervia, Cesena (FC), Comacchio (FE), Forlì (FC), Russi.

História

Representação da fachada do Palácio de Teodorico em Ravenna num mosaico da Basílica de Sant'Apollinare Nuovo.

Ravenna foi a terceira capital do Império Romano do Ocidente (402-476), depois de Roma e de Milão (286-402); aí o último imperador romano, Rômulo Augusto foi destronado por Odoacro, que o humilhou publicamente, fazendo-o desfilar prisioneiro, vestido de camponês.

Teodorico o Grande, rei bárbaro que destruiu as pretensões de outros invasores, teria sido cativado pela cidade e a elegeu como sua capital, embelezando a sua corte com aspectos arquitetônicos bizantinos, protegendo artistas de renome, sábios e eruditos que o presentearam elevando-a à outrora grandeza imperial, pérola do seu reino bárbaro, em pleno século V. Nesta cidade, encontra-se a magnífica catedral em estilo gótico, que foi concebida para dignificar o Imperador Teodósio I, o seu primeiro grande morador. Nesta cidade encontram-se, ainda hoje, resquícios das grandes muralhas que foram erguidas para defender o importante arcebispado que existiu no século X.

Importante rota comercial e militar, Ravenna, sempre foi palco de intrigas palacianas. Conhecida por ser, durante os séculos VIII até XIX, como uma notória concorrente da cidade de Roma pelo prestígio de ser aclamada como sede do Império Romano e depois séculos depois, centro cultural de primeira importância com o estabelecimento provisório do Sacro Império Romano-Germânico. Carlos Magno descansava nesta cidade durante as campanhas bélicas que empreendia, e baseada na imponente catedral erguida a Teodósio, ergueu ele mesmo uma para si. E foi por ele escolhida como a primeira capital política antes de se estabelecer em Aachen.





St° Apolinário "in classe", Ravena







Evangelhos de Lindisfarne

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Aix-la-Chapelle

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Aix-la-Chapelle
Aix-la-Chapelle

Blason de Aix-la-Chapelle
Germany location map.svg
Aix-la-Chapelle
Données générales
Toponyme officiel Aachen
Pays Allemagne Allemagne
Land Flag of North Rhine-Westphalia (state).svg Rhénanie-du-Nord-Westphalie
District
(Regierungsbezirk)
Cologne
Arrondissement
(Landkreis)
Aix-la-Chapelle (ville-arrondissement)
Code communal
(Gemeindeschlüssel)
05 3 13 000
Code postal 52062-52080
Indicatif téléphonique +49-241, +49-2405,
+49-2407, +49-2408,
Immatriculation AC
Latitude
Longitude
50° 46′ 00″ Nord
6° 06′ 00″ Est
/ 50.766667, 6.1
Altitude (NN) 67-410 m
Superficie 160,83 km²
Population 259 269 hab. (2008-12-31)
Densité 1602 hab./km²
Nombre de quartiers
(Ortsteile)
7
Site web www.aachen.de
Politique 2004-2009
Bourgmestre
(Bürgermeister)
Marcel Philipp CDU
Partis au pouvoir CDU, Verts

Aix-la-Chapelle (en allemand Aachen[1] ; gentilé : Aixois) est une ville d'Allemagne située dans le Land de Rhénanie-du-Nord-Westphalie.

Elle se situe à 5 km de la jonction des frontières de l'Allemagne, des Pays-Bas et de la Belgique. Au sud commence l'Eifel.

Il y est parlé un dialecte de la langue régionale francique ripuaire qui s'appelle Öcher Platt.

L'étymologie de Aix-la-Chapelle vient pour Aix de aqua (l'eau en latin) et de la chapelle construite par Charlemagne de 794 à 798.

Sommaire


Histoire

Elisenbrunnen (Fontaine d'Elise), une des sources chaudes.

Le site est occupé depuis le néolithique. La cuvette d'Aix-la-Chapelle présente de nombreuses sources qui en font une zone marécageuse. Aussi, ce sont les hauteurs (le Lousberg) qui sont occupées par les premiers hommes. Des carrières attestent de leur présence. Les Celtes et les Romains s'intéressèrent aux sources chaudes : selon la tradition, la ville fut fondée par le Romain Grenus, sous Hadrien, vers l'an 124. Des bains d'un camp militaire romain du Ier siècle y ont été découverts. Le mot latin aqua est devenu en français aix (Aix-en-Provence étant aussi une ville d'eau romaine).

Le roi franc Pépin le Bref bâtit un château à Aix. Le premier document écrit sur la ville (765) la mentionne comme Aquis villa. Son fils Charlemagne apprécia l'endroit et en fit son lieu de résidence et la capitale de l'empire, construisant un palais dont la magnifique chapelle allait devenir la cathédrale. C'est à Aix qu'arriva en 802 l'éléphant blanc, présent du calife de Bagdad Harun ar-Rachid et que Charlemagne appela Abul-Abbas. L'empereur fut enterré dans la chapelle palatine en 824.

En 936, le roi de Germanie, Othon Ier, fils de Henri Ier, fut couronné dans la cathédrale. Les empereurs du Saint Empire romain germanique furent couronnés à Aix pendant 600 ans, le dernier étant Ferdinand Ier en 1536. Au Moyen Âge, Aix était l'une des plus grandes villes de l'empire, mais elle n'eut ensuite qu'une importance régionale.

Elle resta ville libre d'Empire jusqu'en 1792, quand Dumouriez s'en empara ; prise et reprise depuis, elle resta aux Français de 1794 à 1814 et devint sous l'Empire le chef-lieu du département de la Roer. En 1814, elle fut donnée à la Prusse.

Trois traités célèbres, dits traités d'Aix-la-Chapelle, y furent signés :

Seconde Guerre mondiale

En tant que ville située sur l'extrême frontière Ouest, Aix-la-Chapelle subit la guerre de manière particulièrement importante. En juillet 1941, une première attaque aérienne s'abattit sur la ville, quatre autres suivirent.

Le 21 octobre 1944, au bout de six semaines de combats, la ville fut la première ville allemande à tomber face aux armées alliées (Armée américaine) après la Bataille d'Aix-la-Chapelle.

Le palais de Charlemagne

Article détaillé : Palais d'Aix-la-Chapelle.
  • Il fut construit au VIIIe siècle sur les ordres de Charlemagne. Son architecture s'inspire des traditions romaines et byzantines. Charlemagne y résida de 801 à sa mort en 814 ; il y est enterré.
  • Au VIIIe siècle, les Carolingiens, originaires d'Austrasie, déplacèrent vers le nord-est leurs résidences. Paris ne reprit de l'importance qu'avec le comte Eudes, au temps des invasions normandes. Charlemagne ne pouvait s'établir à Rome car c'était la ville du pape, la capitale des États pontificaux.
  • Charlemagne décida donc de s'implanter dans l'ancienne Austrasie, la terre de ses ancêtres. Aix-la-Chapelle à la fin du VIIIe siècle n'avait rien d'une capitale : c'était une station thermale antique fondée par les Romains. Selon Eginhard (qui a écrit le livre Vie de Charlemagne), Charlemagne la découvrit lors d'une partie de chasse. Comme il aimait la natation, il fit creuser une piscine où 100 personnes pouvaient se baigner à la fois.
  • La situation géographique d'Aix-la-Chapelle dans le royaume carolingien fut un atout pour la ville. Le nouveau royaume franc était résolument axé sur le Rhin. Aussi, l'axe Rome / Aix-la-Chapelle était l'épine dorsale de l'Occident chrétien sous Charlemagne et Louis le Pieux.
  • La disposition des bâtiments du palais était imposée par les fonctions : habitation, représentation, culte, économie. Il pouvait s'ajouter d'autres fonctions : administration, justice et école sans oublier la vie religieuse étroitement liée à la personne de l'Empereur : Aix-la-Chapelle cumulait toutes ces fonctions.
  • La ville d'Aix se développa grâce au palais.
  • L'assemblée générale : les « Champs de mai » firent de la nouvelle capitale un haut lieu de la politique, de même que les assemblées : les conciles et les synodes.
  • La justice royale se rendait dans la salle de juridiction du palais. Il abritait aussi une caserne des milites et un atelier monétaire.
  • Charlemagne fit d'Aix-la-Chapelle le siège de sa cour. Ainsi, la ville devint aussi une capitale intellectuelle. Aix-la-Chapelle fut considérée comme une nouvelle Athènes. Le palais comportait une école (école palatine) qui avait pour mission de former une nouvelle génération de comtes, d'administrateurs sachant lire et écrire. Elle disposait d'une importante bibliothèque.

Charlemagne avait créé l'Académie palatine, un cercle de lettrés réservé aux beaux esprits proches de l'empereur (cour). Chacun y portait un surnom emprunté à l'histoire et aux lettres antiques : le roi était David, Alcuin était Horace et Angilbert Homère, Théodulphe Pindare. On y discutait de questions littéraires ou technologiques. On y lisait des poèmes et des discours. La cour, la demeure de Charlemagne, était aussi le lieu de réception des ambassadeurs : d'où les dimensions impressionnantes du palais. On sait que Charlemagne avait voulu rivaliser avec le palais de Constantinople : cela se ressent d'abord dans les dimensions de l'édifice. C'est un rectangle au sol de 180 m. Le palais d'Aix était deux fois moins étendu que celui des Empereurs byzantins. La salle royale comportait trois absides (dont l'une abritait le siège impérial, à l'ouest) comme les basiliques romaines. La hauteur de la salle royale est aussi majestueuse : 20 mètres. Deux rangées de fenêtres assuraient une luminosité parfaite.

  • Cette construction témoigne des richesses de Charlemagne mais aussi de la volonté d'originalité de l'empereur : Aix avait un plan général tout à fait nouveau avec une ordonnance extérieure et un aspect intérieur originaux.
  • La chapelle palatine :
    • emprunts byzantins :
      • mosaïques
      • coupole centrales
      • C'est la basilique Saint-Vital (532-547) à Ravenne qui servit de modèle ; l'architecte adopta un plan octogonal et centré.
    • influences romaines :
      • la mosaïque au sol (d'un artiste inconnu cependant).
      • les chapiteaux corinthiens, qui sont pour certains des réemplois, c'est-à-dire des chapiteaux importés d'Italie.
      • Charlemagne serait sans doute (d'après Pierre Riché) enterré dans un sarcophage antique.
    • La chapelle, témoin de la renaissance carolingienne : la salle voûtée préparait les cathédrales ; la décoration des grilles par des hélices, marguerites, tresses, cordelettes, entrelacs est carolingienne. Cet art de cour original eut un rayonnement dans tout le royaume carolingien car les prélats et les palatins voulurent imiter l'empereur.
  • L'école palatine
  • Conclusion :

Le palais de Charlemagne fut construit dans un but politique, pratique et religieux : le fait que la ville soit centrée par rapport au reste de l'empire, le besoin d'une capitale d'Empire, l'envie de rivaliser avec Byzance et l'ancienne Constantinople, la volonté d'indépendance face à Rome ont été des éléments déterminants pour son édification. Le palais devint le lieu de centralisation du pouvoir et la résidence favorite d'un grand prince. Louis le Pieux y resta comme son père, mais avec les partages territoriaux de l'empire, la capitale et le palais ne furent plus aussi prestigieux et symbolique qu'au temps de Charlemagne. Aix-la-Chapelle fut malgré tout encore en 843 lors du traité de Verdun un enjeu, preuve qu'elle avait marqué la dynastie carolingienne après Charlemagne.

Événements

Chaque année au mois de mai, le prix international Charlemagne (Karlspreis) est remis à une personnalité qui a œuvré pour la cause européenne.

En 2006, la ville a accueilli les Jeux équestres mondiaux.

Tous les 7 ans, les reliques reposant dans le Marienschrein (la châsse de la Sainte Vierge Marie) dans la cathédrale sont montrées au public. Ces reliques seraient les langes de Jésus, la robe de la Sainte Vierge, le tissu dans lequel aurait été enveloppée la tête de saint Jean le Baptiste après sa décapitation ainsi que le tissu que le Christ aurait porté autour de la taille lors de la crucifixion.

Lieux et monuments

La cathédrale en 2007
  • Cathédrale contenant les tombes de Charlemagne et Otton III. (inscrite au patrimoine mondial de l'UNESCO.)
  • Hôtel de ville
  • Vieille ville historique
  • Ponttor et Marschiertor (anciennes portes de la ville)
  • Elisenbrunnen (Fontaine d'Elise, une des sources chaudes) et le théâtre de ville, les deux construits par Karl Friedrich Schinkel
  • Ehrenmal (restes de l'ancienne enceinte de la ville)
  • Elisabethhalle (bains historiques avec deux salles d'architecture Art nouveau encore en usage.)
  • Point des trois pays (Dreiländereck) (frontière entre Allemagne, Belgique et Pays-Bas)
  • Zoo Drimborner Wäldchen
  • Forêt d'Aix-la-Chapelle
  • Les nombreuses sculptures qui sont disséminées à chaque coin de rue
L'Hôtel de ville
Autre vue de l'Hôtel de ville
  • les trésors de la couronne de l'Empereur.

Économie

Aix-la-Chapelle possède un aéroport (Aéroport d'Aachen-Merzbruck, code AITA : AAH) et se situe près d'un bassin houiller, auquel elle donne son nom (industries textiles laine, sidérurgie, industries chimiques, verrerie).

Jumelages

Personnalités liées à la ville

Divers

Notes

  1. En francique ripuaire Oche, en néerlandais Aken, en wallon Åxhe, en latin Aquisgrana.

Source partielle

Marie-Nicolas Bouillet et Alexis Chassang (dir.), « Aix-la-Chapelle » dans Dictionnaire universel d’histoire et de géographie, 1878 [détail des éditions] (Wikisource)

Voir aussi

Liens externes

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Evangelio de Carlos Magno

Arte carolíngia

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Creation of Adam (Michelangelo) Detail.jpg
Os quatro evangelistas, iluminura de c. 820, Catedral de Aachen, Alemanha.

A arte carolíngia refere-se à arte do período de Carlos Magno, estendendo-se pelos seus sucessores (entre 780 e 900 d.C.) e alargando a sua influência ao período posterior da arte otoniana. Carlos Magno foi a figura política mais poderosa da Alta Idade Média, pois seus exércitos assumiram o controle de extensos territórios ao norte da Europa. Carlos foi responsável pela imposição do Cristianismo e pelo ressurgimento da arte antiga. Após sua coroação, tornou-se grande patrono das artes. Estes dois momentos da arte medieval são considerados os antecessores do românico e bases da arte gótica.

Além de pautar por uma forte herança céltico-germânica, a arte carolíngia inspira-se na arte romana da Antiguidade Clássica no chamado renascimento carolíngio, resultando numa comunhão entre elementos clássicos e o característico espírito emocional e conturbado da Idade Média.

A sua expressão arquitectónica vai incidir especialmente na construção religiosa caracterizada por pinturas murais, pelo uso de mosaicos e baixos-relevos surgindo também neste momento a igreja com cripta envolta por deambulatório, tipologia que se irá desenvolver ao longo da Idade Média. Uma das mais significativas construções deste período é a Catedral de Aachen na Alemanha.

As artes decorativas assumem também um lugar de relevo, especialmente no que diz respeito à produção de marfins, joalharia e iluminura, esta última caracterizada por um traço extremamente dinâmico, forte e liberto transmitindo energia rítmica.


Iluminuras

Carlos Magno encomendou diversos exemplares dos Evangelhos em latim, com gloriosas iluminuras. Também enviou artistas a Ravena, onde podiam estudar os murais e mosaicos cristãos primitivos e bizantinos. Carlos talvez tenha contratado artistas gregos para trabalharem nas iluminuras dos Evangelhos. No sepulcro de Carlos Magno foi encontrado o que hoje se chama o Evangeliário de Carlos Magno, fruto de influência marcante da tradição pictoral romana.

A arte carolíngia tinha diversos centros monásticos por todo Império, chamados de ateliês. A Escola da Corte de Carlos Magno (também chamada Escola Ada) produziu os primeiros manuscritos, incluindo o Evagelário do Arcebispo Ebbons, o Evangeliário de Godescalco (781–783); os Evangelhos de Lorsch (778–820); os Evangelhos de Ada; os Evangelhos Soissons Gospels; e os Evangelhos da Coroação e o Evangelário de Lindau. Eles iniciaram um revival do Classicismo romano, mas ainda mantinham as tradições da arte merovíngia e da arte hiberno-saxónica. Mais tarde, na cidade de Reims, formou-se uma nova escola de iluminuras, que produziu o Saltério de Utrecht e o Bern Physiologus, um texto latino sobre animais.

Pinturas e mosaicos

Enquanto é conhecida a existência de afrescos em igrejas e palácios da época, os mosaicos na Capela Palaciana de Carlos Magno se pareciam com as primeiras igrejas cristãs em Roma. Sabe-se que naquela época, muitas colunas e mármores foram trazidos direito de Roma para a construção de obras na Europa.

Ver também

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Achado de Oseberg

Vikingskipshuset

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O museu de barcos viquingues, em Oslo
Artefactos em exposição no interior do museu.

Vikingskipshuset, Vikingskipsmuseet ou Museu dos barcos viquingues é um museu situado na ilha de Bygdøy, em Oslo, na Noruega. Está integrado no museu de história e cultura, pertencente à Universidade de Oslo.

O museu alberga barcos encontrados em diversas sepulturas viquingues, após escavações efectuadas em Tune, Gokstad, Oseberg e Borrehaugene.

A construção de um edifício para albergar os grandes barcos da era viquingue foi sugerida no fim do século XIX. Mas foi só em 1926 que a primeira secção do edifício, para albergar o barco de Oseberg, foi concluída, após ter aquele passado vários anos nos armazéns da universidade. Em 1932, já estavam prontas as secções para albergar os barcos de Tune e Gokstad, mas a conclusão do edifício foi atrasada devido à segunda guerra mundial. Foi concluído em 1957.

Para além dos navios, o museu também expõe diversos artefactos utilizados pelos viquingues no seu dia-a-dia.

Ao entrar no museu, o visitante depara-se com o barco de Oseberg mesmo em frente. Andando em frente, pode contemplar achados da sepultura de Oseberg. À esquerda, encontra o barco de Gokstad e, à direita, o barco de Tune. Existem pequenas varandas a que os visitantes podem subir, para verem a parte de dentro dos navios. O museu tem ainda uma secção de exposições temporárias e uma loja de recordações.

Futuro

Em 20 de Dezembro de 2006, a Universidade de Oslo decidiu apoiar uma proposta do museu para transferir os barcos e todos os artefactos para um novo museu em Bjørvika, também em Oslo. Tem havido um grande debate sobre esta proposta, tanto no meio museológico como na comunicação social. Os que se opõem à mudança apresentaram preocupações com a fragilidade dos barcos, argumentando que não sobreviveriam intactos à viagem. Os apoiantes, por outro lado, defendem que o risco de os manter no mesmo local é muito superior, dadas as elevadas possibilidades de ocorrência de incêndios e de excesso de visitantes. Entretanto, foi realizado um estudo de avaliação do risco de mover o barco de Oseberg, tendo os resultados sugerido que este poderia ser transferido sem sofrer grandes danos.

Artigos relacionados

Ligações externas

Commons
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FATOS HISTÓRICOS IMPORTANTES NO PERÍODO:
  • Ravena, capital imperial
  • Maomé
  • Papa gregório, o Grande
  • Conquistas islâmicas
  • Iconoclastia bizantina
  • Carlos Magno, primeiro imperador do Sacro Império Romano
  • Invasões da Grã-Bretanha pelos Vikings

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